La politique bolivienne des 15 dernières années a été marquée par le Mouvement vers le socialisme (MAS) et la présidence de Evo Morales. Ils avaient proposé́ un modèle d’État et de société́ respectueux de cosmovision des peuples originels de Bolivie. Cependant, les élections de 2019 et 2020 ont montré que le soutien des communautés indigènes envers le MAS n’est pas inconditionnel.
Auteurs : Diana Ribeiro et Guilhem Meillour – Ecrit en décembre 2020, publié le 04 février 2021 Durant nos voyages en Colombie, nous avons franchi trois frontières de la Colombie(Équateur, […]
6962 mètres. C’est l’altitude à laquelle se situe le sommet de l’Aconcagua. C’est également à cette altitude que deux des cinq femmes aymaras qui en avaient entamé l’ascension 20 jours […]
En visite au marché de El Alto, ville tentaculaire, surplombant la Paz, impossible de passer à côtés des maisons de Yatiris, ces sorcier.e.s Aymara qui proposent de lire l’avenir dans […]
Jeunes parents, étudiants ou encore médecins, les vénézuéliens se mettent en scène dans les transports publics colombiens. Confrontés à la précarité de l’exil, leurs motivations sont différentes mais tous font preuve d’une grande résilience ; faisant passer les voyageurs du rire […]
« Les droits de la Terre sont plus importants que les droits de l’Homme » proclamait le président bolivien, Evo Morales, à la suite des lois de consolidation du respect de la Terre Mère en 2009. Deux ans plus tard, plus de 15OO indigènes entreprennent une marche pacifique sur La Paz pour protester contre le tracé d’une autoroute qui couperait en deux la zone amazonienne du TIPNIS…
L’ancien président Chávez a dirigé l’alliance bolivarienne, la défense des alliés de la région contre la politique des États-Unis. Cette dynamique diplomatique était financée par les revenus pétroliers du Venezuela. Maintenant, en l’absence de Chavez et avec une industrie pétrolière paralysée, les anciens alliés du rêve bolivarien restent silencieux.
Emblème national, le palmier à cire du Quindío est au cœur d’une lutte entre enjeux économiques et préservation de l’environnement qui a pour toile de fond la Vallée du Cocora, en […]
La Déclaration de Quito du 4 septembre 2018 témoigne des bonnes intentions des États latino-américains qui souhaitent continuer à accueillir les personnes vénézuéliennes en situation de migration forcée, « à bras ouvert » […]
Depuis 2016, 2 millions de vénézuéliens ont quitté leur pays à cause la crise politique et économique que connaît le pays, créant un mouvement migratoire inédit, interne à l’Amérique Latine. […]
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